29 février 2008
MIGRATEUR
Inscrit sur le mur des masses invisibles, Un éclair gris sur les cimes fluides Qui m’élèvent sur les crêtes d’une haute portance, J’obéis à ma route dans la voix du vent Loin des rives immobiles qui déploient l’ocre et le vert. Nul prédateur en ces espaces...