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EMMILA GITANA
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14 septembre 2007

MER DU PARADIS

MER DU PARADIS
MER DU PARADIS de Vicente Aleixandre Me voici face à toi, mer, encore...La poussière de la terre sur les épaules,encore imprégné de l'éphémère désir épuisé de l'homme,me voici, lumière éternelle,vaste mer infatigable,ultime expression d'un amour sans...
14 septembre 2007

MIGUEL HERNANDEZ....Extraits

MIGUEL HERNANDEZ....Extraits
« Ta voix coule doucecomme d’un pot de miel, et dans son mouvement,le désir met dans mes mains terrestresses roses au feu habituel. J’arrive exaspéré au sommetde ta poitrine insulaire, et je l’entoured’une mer ambitieuse et je piétinedes pétales de lumière...
14 septembre 2007

DISPOSITIONS POETIQUES

DISPOSITIONS POETIQUES
DISPOSITONS POÉTIQUES Les étoiles n’avaient qu’un rôle :M’apprendre à lireJ’ai une langue dans le cielEt sur terre, j’ai une langueQui suis-je ? Qui suis-je ? Je ne veux pas répondre iciUne étoile pourrait tomber sur son imageLa forêt des châtaigniers,...
14 septembre 2007

MAHMOUD DARWICH....Extrait

MAHMOUD DARWICH....Extrait
Quand les martyrs vont dormir Quand les martyrs vont dormir, je me réveille et je monte la garde pour éloigner d’eux les amateurs d’éloges funèbres.Je leur souhaite " bonne patrie ", de nuages et d’arbres, de mirages et d’eau.Je les félicite d’avoir échappé...
13 septembre 2007

NOCTURNE

NOCTURNE
Nocturne Je regarde les étoilesau-dessus de la mer,Oh, les étoiles sont de l’eau,des gouttes d’eau ! Je regarde les étoilesau-dessus de mon cœur.Les étoiles sont des arômes, des noyaux d’arômes. Je regarde la terrepleine d’ombre. FEDERICO GARCIA LORC...
13 septembre 2007

NOCTURNO

NOCTURNO
« Miro las estrellassobre el mar.¡ Oh, las estrellas son de agua,gotas de agua ! Miro las estrellassobre mi corazón.¡ Las estrellas son de aroma,núcleos de aroma ! Miro la tierraLlena de sombra. » Federico García Lorca, Estampas del mar LA NUIT ETOILEE...
13 septembre 2007

NIEVE

NIEVE
« Campo sin caminosy ciudad sin tejados.El mundo esá silenciosoy cándido.Paloma gigantescade las esferas.¿ Cómo no baja del azulel eterno milano ? » FEDERICO GARCIA LORCA
13 septembre 2007

LE PREMIER AMOUR

LE PREMIER AMOUR
En combien de maisons L'homme arrive à s'attarderAu cours de sa vie !Et pourtantSon long gémissementS'attache toujoursA sa première demeure. Déménage d'un lieu vers un autreTon pauvre cœurTourmenté par le désir ;Le véritable Amourest toujours celuiQui,...
13 septembre 2007

AL-' AQL

AL-' AQL
"Al-'Aql" (L'Intellect) Dans la lune de l'obscurité brille la lumière du soleil.Je suis de ses branches et il est ma racine.Nos intelligences, de l'amour, enivrées,Nous feraient croire fous, pourtant fous, nous ne sommes.Tu nous vois parmi les hommes,Mais...
13 septembre 2007

SALMA

SALMA
Je salue Salma et ceux qu'abrite sa demeure ! Quelqu'un, tout comme moi, doit tendrement saluer !Que lui coûtera-t-il de répondre par une salutation ?Pourtant, nul recours si la belle ne nous répond point !Elle s'en alla avec les siens, la nuit abaissant...
13 septembre 2007

SUBLIME CORDOUE

SUBLIME CORDOUE
"O sublime CordouePuis-je nourrir en toi quelque ambition ?Un cœur embrasé peut-il assouvir de loin sa soif ?Tes nuits bénies seront-elles de retour ?La beauté en toi est spectacle,Et le plaisir est harmonieCar la Fortune te favorise. N'est-il pas étrange...
13 septembre 2007

RAISIN BLANC

RAISIN BLANC
Ô raisin blanc aux flancs laiteuxQue l'on jurerait contenirDes provisions de cristal ! Sa peau est remplie de musc ;D'en haut, le cep l'a abreuvéD'eau de roses de Djoûrî. S'il pouvait se conserver sans fin,Nul doute qu'il n'eût orné l'oreilleDes houris...
9 septembre 2007

POEMA 9....

POEMA 9....
POEMA 9 Ebrio de trementina y largos besos, estival, el velero de las rosas dirijo, torcido hacia la muerte del delgado día, cimentado en el sólido frenesí marino. Pálido y amarrado a mi agua devorante cruzo en el agrio olor del clima descubierto, aún...
8 septembre 2007

LE GARDEUR DE TROUPEAUX...Extraits

LE GARDEUR DE TROUPEAUX...Extraits
Mon regard est net comme un tournesol.J’ai l’habitude d’aller par les chemins,jetant les yeux de droite et de gauche,mais en arrière aussi de temps en temps…Et ce que je vois à chaque instantest-ce que jamais auparavant je n’avais vu,de quoi j’ai conscience...
8 septembre 2007

IVRE DE LONGS BAISERS,IVRE DE TEREBINTHES

IVRE DE LONGS BAISERS,IVRE DE TEREBINTHES
Ivre de longs baisers, ivre des térébinthes, de Pablo Neruda Ivre de longs baisers, ivre des térébinthes,je dirige, estival, le voilier des roses,me penchant vers la mort de ce jour si ténu,cimenté dans la frénésie ferme de la mer. Blafard et amarré à...
6 septembre 2007

HORIZON

HORIZON
HORIZON Ô mer antérieure à nous, tes frayeurs Recelaient des coraux, des plages, des clairières. Forcés les secrets de la nuit, de la brume Serrée, des tourmentes endurées, du mystère, Le Lointain ouvrait ses corolles, et le Sud sidéral Resplendissait...
4 septembre 2007

LES VENTS DU PEUPLE ME PORTENT....

LES VENTS DU PEUPLE ME PORTENT....
LES VENTS DU PEUPLE ME PORTENT… Les vents du peuple me portent les vents du peuple me traînent, me déchirent le cœur et me dessèchent la gorge Face au châtiment, les bœufs abaissent le front impuissants et calmes Les lions redressent la tête et enfoncent...
2 septembre 2007

ESPANA QUE PERDIMOS, NO NOS PIERDAS

ESPANA QUE PERDIMOS, NO NOS PIERDAS
guárdanos en tu frente derrumbada,conserva a tu costado el hueco vivode nuestra ausencia amargaque un día volveremos, más veloces,sobre la densa y poderosa espaldade este mar, con los brazos ondeantesy el latido del mar en la garganta. Hoy que llevo mis...
2 septembre 2007

PASAREMOS

PASAREMOS
Canto a los mineros asturianos Miguel Angel Asturias (1937) Está temblando el vientre de la tierra y ahora que el invierno se ha ido cosecharemos sobre ella la victoria : ¡ Pasaremos ! Los que venían de destruir a Guernica, machacada en nuestra carne,...
2 septembre 2007

SE LE VIO, CAMINANDO ENTRE FUSILES

SE LE VIO, CAMINANDO ENTRE FUSILES
Se le vio, caminando entre fusiles por una calle larga, salir al campo frio, aun con estrellas, de la madrugada. Mataron a Federico cuando la luz asomaba. El peloton de verdugos no oso mirarle a la cara. Todos cerraron los ojos ; rezaron : ni Dios te...
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EMMILA GITANA
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