19 janvier 2008
JEAN AMROUCHE...
« J’ai cru que l’écriture portait en elle une vertu d’exorcisme, mais rien ne me délivre de mon démon. Il sera libre de s’agiter en moi, de parler, de dicter des paroles dont j’ignore le sens à jamais. Il me faut être convaincu de cette cruelle vérité qu’il n’y a pas de délivrance par la parole. A moins qu’il n’existe au-delà du verbe humain des maîtres mots, un langage porteur de vie surnaturelle.»
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