vendredi 10 octobre 2008

BONGA ( Angola)

Posté par emmila à 11:34 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , ,

vendredi 10 octobre 2008

LA PALABRA

¿ dónde está la palabra, corazón, que embellezca de amor al mundo feo; que le dé para siempre - y sólo ya - fortaleza de niño y defensa de rosa ? . JUAN RAMON  JIMENEZ . Oeuvre de Béatriz Moya
vendredi 10 octobre 2008

LE MOT

Où est le mot, mon coeur, qui embellira d'amour le monde laid; qui lui donnera pour toujours - et seulement alors - une force d'enfant et une défense de rose ? . JUAN RAMON  JIMENEZ . Oeuvre de Béatriz Moya
Posté par emmila à 10:01 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , ,
vendredi 10 octobre 2008

LA MORT

Ici nous avons dit : " Mort ", comme un point final, et nous nous sommes égarés dans le reste. Mais mourir c'est voyager, mourir c'est transcender; et toi tu deviens transcendant, - se souvenir de toi serait t'accompagner - dans les nuits d'étoiles dans les aurores pures, dans les hauts couchers de soleil, toi vivant, toi vivant, vivant et ardent, sur la pauvre paix de notre sec oubli ! . JUAN RAMON  JIMENEZ .
Posté par emmila à 09:47 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , ,
vendredi 10 octobre 2008

LA MUERTE

Aquí hemos dicho : " Muerto " como un punto final, y no hemos perdido por lo otro ¡ Pero morir es viajar, morir es trascender; y tú  estás trascendiendo, - recordarte sería acompañarte  - en las noches de estrellas, en las auroras puras, en las altas puestas de sol, vivo tú, vivo tú, vivo y ardiente, sobre la pobre paz de nuestro seco olvido! . JUAN RAMON JIMENEZ .
Posté par emmila à 09:38 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , ,
vendredi 10 octobre 2008

RENE CHAR

Dans le tissu du poème doit se retrouver un nombre égal de tunnels dérobés, de chambres d'harmonie, en même temps que d'éléments futurs, de havres au soleil, de pistes captieuses et d'existants s'entr'appelant. Le poète est le passeur de tout cela qui forme un ordre...Et un ordre insurgé. . RENE  CHAR .
Posté par emmila à 08:40 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : ,

jeudi 9 octobre 2008

FIN DE LA ZAFRA

Por caminos tucumanos,Hacia el monte en que nacieron,Tierra de soles ardientes,Perfumada de polen, Por caminos tucumanos,Vino, vidala y silencio,Se van los hombres del surco,Tan pobres como vinieron. Ha terminado la zafra,Dura labor de invierno.La tierra quedó cansada,Cansada como el obrero. Ya no se ven en la huellaPesados carros cañeros.Ya no se siente el zumbidoDe los trapiches moliendo. Y en la noche de los campos,Como un adiós del silencio,Donde antes hubieron cañasQueda la maloja ardiendo. ... [Lire la suite]
jeudi 9 octobre 2008

LA FIN DE LA RECOLTE

Par des chemins de Tucumán,Vers la montagne sur laquelle ils sont nés,Terre de soleils brûlants,Parfumée de pollen, Par des chemins de Tucumán,Vin, vidala* et silence,Les hommes du sillon s'en vont,Aussi pauvres qu'ils sont venus. La récolte s'est terminée,Dure labeur d'hiver.La terre en est sortie fatiguée,Fatiguée comme l'ouvrier. Déjà on ne voit plus sur la pisteDe lourds chariots à canne.Déjà on ne sent plus le bourdonnementDes broyeurs en train de broyer. Et dans la nuits des champs,Comme un adíos de la part du... [Lire la suite]
jeudi 9 octobre 2008

AIMER...?

Pacotille des négociants du coeur,ce seul pauvre petit mot défroqué ne suffirait plus guère à taire l'inconsolable, l'imperfectible. Aimer serait bien plus qu'un désir monté au cran du sexedessous les draps de peau. Bien plus qu'une envie de chanter à l'unisson.  Ça serait un élan de ferveurnourri au plus blanc de la flamme,noué de gestes pétris de chair, porté de pas saignés à la violence de vivrejusqu'à la garde baissée du coeurÇa serait boire à même la soif communeinextinguible. . LAÏLA  CHERRAT .
Posté par emmila à 15:54 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , ,
jeudi 9 octobre 2008

EL MAR EN PERSONA

He aquí el mar alzado en un abrir y cerrar de ojos de pastorhe aquí el mar sin sueño como un gran miedo de tréboles en flory en postura de tierra sumisa al parecerYa se van con sus lanas de evidencia su nube y su laborA la sombra de un olmo nunca hay tiempo que perder Crédula exquisita la oscuridad sale a mi encuentroMi frente abriga la corteza del pan que llevo adentrocortado a pico sobre un pájaro inseguro Y así me alejo bajo la acción del pianoque me cose a las planta precursoras del marUn ciervo de otoño baja a beber la luna... [Lire la suite]
Posté par emmila à 13:45 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , ,