7 novembre 2008
LIEUX EPARS
"Qui souffle sur la paume!
L'haleine rêve de roses
et nul ne caresse l'eau
qui coule à travers corps
pour mieux irriguer les poèmes
Invisible haleine sans mots !
Tout dire sans rien dire !
Ton fragile regard en mon regard
Et l'aérienne existence
proche du vent, de la clarté !
Ne ferme pas les paupières.
Poussière d'or: un seul reflet"
.
JACQUES IZOARD
.
Commentaires