
Tu peux gémir dans ta lucidité,ah solitaire, mais alors défais-toide la véracité dans la douleur. La langues’épuise dans la vérité. Parfois arrivel’incessant, celui qui devient fou : il parleet l’on entend sa voix, mais pas sur tes lèvres :c’est la nudité qui parle, c’est l’oubli..
.
.
ANTONIO GAMONEDA
.
.
.
.