La mer pesante, ardente et libre,
Qui tient la terre en équilibre ;
La mer que domine la loi des multitudes,
La mer où les courants tracent les certitudes.
....
....
Voilà que l'on se couche
De l'envie qui s'arrête
De prolonger le jour
Pour mieux faire notre cour
À la mort qui s'apprête
Pour être jusqu'au bout
Notre propre défaite
Serait-il impossible de vivre debout
.
JACQUES BREL
.