
Du tribut de mon sang j'ai irrigué les monts Mon empreinte s'imprime à jamais, Quand ils ont en juré l'anéantissement ; Qui s'impatiente de me voir mort, et qui calomnie mon nom, A chaque col devra m'affrontent, J'ai laissé mon bien à l'abandon, Je l'ai trouvé gisant dans l'immondice, J'ai porté le regard sur mon honneur, J'ai vu des bourreaux. Bien que la force ait fui mes membres, Ma voix demeure, qui retentira, Ils l'entendront ! L'on dit : La montagne s'est ébranlée ! Et tu n'y étais pas ! Chacun s'en va répétant, ...
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