
"Rives qui croulez en parureAfin d'emplir tout le miroir,Gravier où balbutie la barqueQue le courant presse et retrousse,Herbe, herbe toujours étirée,Herbe, herbe jamais en répit,Que devient votre créatureDans les orages transparentsOù son coeur la précipita ?"René Char
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