vendredi 29 mai 2009

LE SILENCE

Au fond des silences      sont d'étranges vérités,        vérités nappées de glace   comme les grands espaces,              habits du temps qui passe,   morceaux de temps      figé pour dix éternités.                LE SILENCE,      cette autre face du cri,      cette étrange parole venue      de... [Lire la suite]
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vendredi 29 mai 2009

LE CHEMIN DES RÊVES...Extrait

Parfois le ciel se couchesur le sein d'une collineet le chemin solitaires'approche timidementsans jamais tendre la mainvers ce visage invisibleoù la lumière naît de l'abîme...l'homme ressemble à cet arbredont le rêve se dressecomme un paysagesur la chevelure infinie des nuages et du vent....VICTOR  VARJAC .
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vendredi 29 mai 2009

LA ROSEE DES CONSTELLATIONS...Extrait

Je porte sur le front la Lune Je porte un soleil dans mon cœur Toute ténèbre est importune Je porte sur le front la Lune. Je connais le secret des runes, Je déchiffre les cieux vainqueurs, Le cromlech pleure sur la dune, Le merle pousse un cri moqueur. Je porte sur mon front la Lune Et tous les soleils dans mon coeur. . FRANCOIS  BROUSSE .
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vendredi 29 mai 2009

L'HYSTERIE DU POEME

Le poème, le poème… Jusqu’à quand ? Y aura-t-il encore en hébreu assez d’épées pour affronter le prochain poème qu’écrira un autre poète pour demander le retrait des occupants ?Nathan Zakh a dû d’abord m’insulter pour avoir le droit de formuler ensuite cette question pertinente : " Les Israéliens poseraient-ils comme condition de la paix avec les Palestiniens que ces derniers tombent d’abord amoureux d’eux ? Dans ce cas, nous risquons d’attendre longtemps, très longtemps. "Les Israéliens ont été surpris de découvrir que le... [Lire la suite]
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vendredi 29 mai 2009

FUREUR ET MYSTERE....Extrait

Tes dix-huit ans réfractaires à l'amitié, à la malveillance, à la sottise des poètes de Paris ainsi qu'au ronronnement d'abeille stérile de ta famille ardennaise un peu folle, tu as bien fait de les éparpiller aux vents du large, de les jeter sous le couteau de leur précoce guillotine. Tu as eu raison d'abandonner le boulevard des paresseux, les estaminets des pisse-lyres, pour l'enfer des bêtes, pour le commerce des rusés et le bonjour des simples.Cet élan absurde du corps et de l'âme, ce boulet de canon qui atteint sa cible en la... [Lire la suite]
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