« Y aura-t-il jamais assez de nuit dans nos yeux pour voir quelques étoiles danser autour des bornes où tiennent les visages ?

Y aura-t-il jamais assez de silence dans notre sang pour entendre chanter la lumière, là où sourient les ombres ?

Y aura-t-il jamais assez de chaleur dans notre cœur pour qu’il offre aux pierres ces forces dont elles vivent, ce rythme qu’entre deux soupirs de ciel nos pas leur arrachent, par hasard ? »

.

.

.

.

ALAIN  FREIXE

.

.

.

sylvain_lagarde

Photographie Sylvain Lagarde