
Désormais je consens, que la lumière soit le souffle pur
qui transfigure toute ruine et rédime le monde,
et que la nuit revienne, pourtant.
D’un dernier mouvement j’apaise ma révolte.
J’accepte l’instant nu.
Geste essentiel, éclatement solaire,
et que mes mots soient des fissures, où la vie se fragmente.
Ombres et lumières.
Un visage soudain traversé d’émotion, une envolée peut-être?
Puis la chute, brutale, dans le vide obscur, et nos regards dépossédés que le réel
submerge.
J’accepte la fracture, puisqu’il le faut, et la...
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