6 décembre 2009
FRAGMENTS...Extrait
Il faut amener l’amour à la pensée. Les séparer, c’est les amputer. Un amour qui ne pense pas profondément ce qu’il aime est une monstruosité. Une pensée qui n’aime pas profondément ce qu’elle pense, n’est pas une pensée suffisante. Là, de plus, se joue le sort de la poésie qui, sans cette conjonction, est privée d’existence.
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ROBERTO JUARROZ
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