
Cela peut-être ne s’atteint que quand nous avons tout perdu ou lorsque ce qui s’écrit ne peut plus être lu, alors le poème se fait si diaphane, si incandescent, qu’il semble s’être vidé ou bien chargé de trop de jour,en fin de compte comment écrire ce qui aurait déjà cessé ou comment entrer dans un espace ouvert infini, comment donner le jour à ce qui n’a jamais cessé, écrire la figure synchrone, intacte de ce qui n’a point de visage, comment se figurer ce qui est sans limite, écrire l’aurore finissante et le couchant à son...
[Lire la suite]