
Briser sans doute la nuit. Il faut y aller. Oublier et chercher. D’autres fondent, en puisant dans on ne sait quelle démesure, de vastes empires. Ils osent conspuer le trop sordide devenir de la mort. D’autres encore grimacent des parchemins qui rallongent d’un instant la finitude. D’autres osent des monstruosités. D’autres encore choisissent les débandades du rire. Mais toi, le mécréant, tu n’as qu’une vertu. Celle de son corps. Il ne te reste que cet usage qui écartèle tous les manifestes, toutes les propagandes, tous les jeux et...
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