
Peut-être te suis-je inutile,Nuit ; de l'abîme universelJe suis sur ta rive jetéComme un coquillage sans perle.
Ta vague indifférente bat,Et tu chantes, inconciliable ;Mais tu aimeras, tu apprécierasLe mensonge de l'inutile coquillage..Tu vas revêtir ta chasuble,t'étendre sur la sable auprès de lui,Y nouer avec des liens indissolublesLa cloche énorme des roulis.Et les parois du frêle coquillage,Tu vas les emplir d'un murmure d'écume,Comme la maison d'un cœur inhabité,Et de vent, et de pluie, et de brume.
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.OSSIP ...
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