
à Nathalie Billecocq,
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Le monde serpente en tout sens, n'est plus que ce chemin de fin du jour, pierre après pierre…
On s'échine à dévaler la pente, à la remonter vers la frontière entre cimes et nuées…
Et déjà le pied heurte un pauvre nom caché sous la poussière, une petite larme qui se sèche au soleil, un regard enfantin, un bond imaginé, une heure nouvelle dans le grand vent agitant pour un temps la crinière des arbres, la perle ou l'or d'une rencontre perdue…
Rien encore, ni la danse, ni le chant, ni...
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