16 avril 2010
IL FAUDRA QUE JE ME COUPE LES DOIGTS, ILS M'EMPÊCHENT D'ECRIRE...Extrait
Le corps approvisionné de fraîcheur, navette à plonger dans la chambre veuve du secret, jeune sirène, elle plonge dans l'eau verte et en revient brillante de musique. Seront redistribués les mots qui se sont acérés dans l'épreuve, jusqu'à ce que, sous les voix du concert, l'estafilade de la joie parle plus haut que nous.
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GABRIELLE ALTHEN
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