
Écriture ample, d’un seul trait qui démontre sasourceet son élan –martinets –se dépliant par d’immenses caresses, épousantles pleins,les creux et les failles du corps invisible desvents.Tant de tiges qui s’élancent, se plient etse déplient, secassent sans se rompre, d’un même mouvoiren lui-même enraciné,mouvoir, telle une pensée lisible un instant sansmot etsans tracecoulé dans la pleine jouissance de son être indivistout un ciel d’afflux de sèves, de rumeursd’éclosionô certitude d’être ici sans reste exprimé dans sonfaire !Plongées...
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