18 août 2010
SOUS LE SCEAU DU SILENCE...Extrait
Nous surveillons une présence, une enfance qui persiste. Ni espérance, ni faux-semblants, mais une incroyable volonté d'accueillir ce qui fut, d'inventer ce qui subsiste.
Les paroles, l'imagination prolongent l'allégresse provoquée par la perspective d'une colline, par les remous d'une forêt. La nuit même semble radiée ; seule s'impose l'aube après laquelle tout est possible. Aucune attente ne sollicite notre hâte.
Au-dessous de nous, un oiseau s'égare dans son vol. Le bûcher conservera trace de son passage. La cendre sera son or, son éternité.
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MAX ALHAU
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