« Au lieu d'aborder des îles, je vogue donc vers ce large où ne parvient que le bruit solitaire du cœur, pareil à celui du ressac. Rien ne dépérit, c'est moi qui m'éloigne, rassurons-nous. Le large, mais non le désert. »
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COLETTE
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vendredi 3 septembre 2010
LE FANAL BLEU...Extrait
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