
Bonjour, pauvre visagesi tu as choisi, dansla rigueur du matin, de revenirdans l'êtresi tu portes, sur le frontla rosée des mortscomme si le combatde la nuit avaitnoyé les ombrescomme situ reprenais pieddans l'apesanteur du vivant. Tu portes les marquesles traces, les éclairsde mémoires inconnues.Tu sais, par l'âme ou le cerveauque des rires et des crisont martelé ta face.C'était un autre jourc'était une autre languedans le premier éclat de l'univers.Et si tu écoutais vraimentla rumeur du Tempstu pourrais presque saisirle fantôme de...
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