
Quand le vent eut frappé,
quand fut détruite la Cité de l'âme,
quand la tyrannie eut bousculé jusqu'au dernier des souffles,
le Voyageur fut jeté, ah brindille dans l'ouragan,
jusqu'au désert sans route,
vers l'exode sans but.
D'autres, nombreux, des familles entières jetées au vide, au rien, à l'égarement,
cherchant un lieu, et ne sachant,
de l'eau, et ne la trouvant.
Ou bien trouvant un puits et voyant leurs mains vides
voyant l'absence de corde et voyant un enfant,
d'une pierre insondable, révéler la...
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