
Il n’y a plus de ligne droite ni de route éclairée avec un être qui nous a quittés.
Où s’étourdit notre affection ? Cerne après cerne, s’il s’approche c’est
pour aussitôt s’enfouir. Son visage parfois vient s’appliquer contre le
nôtre, ne produisant qu’un air glacé. Le jour qui allongeait le bonheur
entre lui et nous n’est nulle part désormais, toutes les parties-
presque excessives- d’une présence se sont d’un coup disloquées. Misère
de notre vigilance…
Pourtant cet être supprimé se tient dans quelque chose de rigide, de ...
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