19 janvier 2011
JALEL EL GHARBI
Or le monde s’ouvrait au chapitre
Du lièvre matinal,
Dans sa course onéreuse,
A la page
Du duvet sur la douceur
Des fruits
Et à la ligne du ciel nu sous sa fourrure
De nuages
Son chemin traverse la route
Qui va derrière le paysage
De quelle propension es-tu l’allégorie ?
C’est la course du lièvre
C’est le galbe de son chemin
C’est le signe de son passage
Que je cherchais à saisir
Or le lièvre, le duvet, les fruits, la fourrure, le ciel, les nuages, la route, le chemin, le passage
Tout n’était que comparaisons
Du galop du désir
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JALEL EL GHARBI
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Oeuvre Paul Cézanne
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