30 mars 2011
SOUVENIRS DU MAROC
" On servit de nouveau le thé,
tout en nous offrant du café si nous le préférions,
bien que ce dernier ne soit guère d'usage.
Puis on nous aspergea d'eau de fleur d'oranger, d'eau de rose,
et l'on apporta un brûle-parfum allumé de bois de santal.
On a soin de faire passer la vapeur
dans les larges manches des cafetans, dans la barbe;
on enlève son turban, on baigne sa tête de ces effluves
qui forment, avec l'odeur de la fleur d'oranger,
un parfum discret et agréable.
C'est la fin d'agapes délicates."
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HENRI DE LA MARTINIERE
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