
tout bas défaire le chignon dans la cambrure et la bascule des mots dans le vœu de ne pas emmêler sous les épigrammes du soleil
lui dit : est lisse l’air de ta peau, hiéroglyphes tes lèvres où je m’attarde
ce qu’elle a perdu dans la voix
jusqu’à la couleur de ses cheveux
et le deuil de ses vêtements
mon visage
vague après vague
je vous lis vous déchiffre l’argot de vos amours rose ronce roc & faïence des lectures & les fleurs ont augmenté leurs corolles
entre couleurs et...
[Lire la suite]