A LA TRAME DENTELLIERE
Où sommes-nous dans l’impatience ? Les visages emportent les peines de plaines et le geste dans les mouvements.
Moucheté, la lumière rassurante, le soleil est l’autre tunnel
Avant le sommeil qui ouvre pour découvrir.
Les vertiges approchent l’imagination,
Les mots les ailes d’oiseaux sur les lavandières comme des racines flottantes.
La vie est une ressemblance qui bascule les miroirs.
Le sang vide l’alcool pendant que les nuits prennent froids.
Les délivrances voudraient se perdre au hasard,
Se pendre
Les coïncidences creuser l’oblitération.
Le monde entraîne.
Je vois la vie en bas remplies de roses et d’aubépines, et d’aube sur les épines.
La trame de la vie est une dentelle qui fane ses pétales de fils. Couture, le drame.
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(Mouvement d'un cil )
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