dimanche 2 octobre 2011

PIERRE DHAINAUT

 Le souffle est aussi impérieux sous les portes                sur les caps, tu l'écouteras davantage                amener de très loin la vague immense qui déferle,                 les embruns qui se brisent, et tu écouteras de même ... [Lire la suite]
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dimanche 2 octobre 2011

SILENCIO

Cuando tú te quedes muda,     cuando yo me quede ciego, nos quedarán las manos.   Cuando tú te pongas vieja cuando yo me ponga viejo, nos quedarán los labios y el silencio.   Cuando tú te quedes muerta,    cuando yo me quede muerto,     tendrán que enterrarnos juntos y en silencio;                                y... [Lire la suite]
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dimanche 2 octobre 2011

SILENCE

Quand tu seras muette, quand je serai aveugle, il nous restera les mains. Quand tu deviendras vieille, et quand je deviendrai vieux, il nous restera les lèvres et le silence. Quand toi tu seras morte, et moi je serai mort, ils devront nous enterrer ensemble en silence; et quand tu ressusciteras, quand je revivrai, nous nous aimerons à nouveau en silence; et quand tout finira pour toujours dans l’univers, ce sera un silence d'amour le silence   . ANDRES ELOY BLANCO . ... [Lire la suite]
dimanche 2 octobre 2011

NOCTURNES

Un  bras de la nuit entre par ma fenêtre. Un grand bras brun avec des bracelets d’eau.  Sur une vitre bleue jouait mon âme à être fleuve.  Les instants blessés par l’horloge…passaient. .   .   Je passe la tête par ma fenêtre, et je vois comment veut la couper la lame du vent.   Sur cette guillotine invisible, j’ai mis la tête sans yeux de tous mes désirs   Et une odeur de citron emplit l’instant immense, tandis que se transformait en fleur de gaze le vent. . FEDERICO... [Lire la suite]
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dimanche 2 octobre 2011

DOS NOCTURNOS

Un brazo de la noche entra por mi ventana.  Un gran brazo moreno con pulseras de agua.  Sobre un cristal azul jugaba al río mi alma.  Los instantes heridos por el reloj…pasaban. . . Asomo la cabeza por mi ventana, y veo cómo quiere cortarla la cuchilla del viento.   En esta guillotina invisible, yo he puesto la cabeza sin ojos de todos mis deseos.   Y un olor de limón llenó el instante inmenso, mientras se convertía en flor de gasa el viento. . FEDERICO GARCIA LORCA