mardi 18 octobre 2011

NIKI...Extrait

 L’abus de pouvoir, ce vice funeste de tous les rois, chefs, dictateurs, de tous les directeurs, chefs de service, secrétaires, de tous les bergers, vachers et porchers, de tous les chefs de famille, de tous les éducateurs, de tous les frères aînés, de tous les vieux et de tous les jeunes ayant charge d’âme, cette puanteur, cette maladie, ce foyer d’infection qui est le propre de l ‘homme et qui ne se développe chez aucun autre fauve sanguinaire, cette malédiction et ce blasphème, cette guerre, ce choléra était chose... [Lire la suite]
Posté par emmila à 14:45 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , ,

mardi 18 octobre 2011

EPITAPHE...Extrait

Quand je remettrai mon ardoise au néant un de ces prochains jours il ne me ricanera pas à la gueule mes chiffres ne sont pas faux ils font un zéro pur. Viens mon fils dira-t-il de ses dents froides dans le sein dont tu es digne. Je m’étendrai dans sa douceur. . ANDRE FRENAUD .
Posté par emmila à 14:36 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , ,
mardi 18 octobre 2011

ADIEU A ANDRE FRENAUD PAR ALAIN SUIED...Extrait

 À la fin, il faut laisser gagner l'ennemi qui avait pris votre place, qui avait noyé votre regard, qui semblait si familier. Tous les chiffres ont fait un zéro pur. À la fin, il faut laisser gagner la lumière : le feu blanc du réel, la flamme atroce de la destruction, le rouge brasier solaire. Sur l'ardoise du néant, il y a un visage. C'est le visage de tous nos rêves. C'est l'héritage amer de l'absence. C'est la souffrance sans voix de l'enfance. Sur l'ardoise du néant, il y un visage. . ALAIN SUIED .
Posté par emmila à 14:20 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , ,
mardi 18 octobre 2011

L'AFFISSU ZIFRATU

Sol SimSciacconu quell'affissu una mane d'inguernuSim SolNant'à li muri scalcinati di a citàLam SimÀ l'albore tristezza è senza umanitàSim LamU carrughju paria a porta di l'infernuLam SimChì sparitu ne era ogni segnu pietàEranu una vintina d'omi ritrattatiA faccia mascherata à tratti d'al di làChì lasciavanu sola un'idea d'etàÈ u penseru stancu à l'ochji tribulatiQuale sò issi figlioli, dite per caritàMa nimu si frastorna è nimu si ribellaChì pesa tantu in core a guerra à sistemàChì costa troppu tandu un attu libertàÈ si terne dinù la... [Lire la suite]