
L’on se verra bientôt…dans un an,deux ans, dans un siècle…et dans l’appareil photographiquefurent jetésvingt jardinset les oiseaux de la Galiléeet la voilà partie, au-delà de la mercherchant un sens nouveau à la vérité.ma patrie est une corde à sécheret les rubans du sang répandu àchaque minute…Et sable, et palmiers, je me suisétendu sur le rivageLes oiseaux ne savent point, ma Rita,que la mort et moi t’avons donnéle secret de la joie fanéeà la barrière douanière…Et nous voilà, la mort et moi,renaissantdans ton front premier,et dans...
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