
Mon péché est terrible : j’ai voulu remplir d’étoiles le cœur de l’homme. Et pour cela, derrière les barreaux, en vingt-deux hivers j’ai perdu mes printemps. Prisonnier depuis l’enfance et condamné à la mort, la lumière de mes yeux dessèche sur les pierres. Mais pas l’ombre d’un archange vengeur dans mes veines : L’Espagne n’est que le cri de ma douleur qui rêve.
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MARCOS ANA
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Anti-Franquisme
Marcos Ana, Quichotte vivant
Par Cristina Castello
Dites-moi ce qu'est un arbre/Dites-moi le chant d'une...
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