15 janvier 2012
ANNAIG RENAULT
« Des terres oubliées du passé, un chant monte et s’évanouit,
Offrandes aux dieux qui nous ont enfantés
L’œil du poète qui en sait lire la trace
raconte l’odyssée de temps qui ne sont plus
Passagers clandestins aujourd’hui
des objets pleurent notre mémoire enfuie…
Serions-nous en exil de nous-mêmes ? »
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ANNAIG RENAULT
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