
Les larmes, le vent et les nuages parfois volent si bas
Que l’on en a le visage mouilléSi bas, que pour ne pas mourir, il nous faut rouvrir de vieux soleilsEt, aux archives de l’intime, retrouver les yeux lumières et les jeuxQue l’on posait sur ces jours en fêtes où les bougies brillaient
Dans la diagonale des siècles, Capitaine passé, je viens de loinJe viens du bal des nuits et d’une valse des jours
Où se cachent tant de sortilègesQu’il me faut passer les frontières pour déterrer l’enfanceMe fallait-il savoir que pour être homme...
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