
Le jour se lève, comme toujours, avec ton souffle doux, à perturber ma solitude. Un vide a comblé mon rêve. Des mots qui ne me disent rien. Des feuilles qui tombent, s'amoncellent, se pourrissent en automne. Des défis à moi dans les temps de l'oubli. Je reste assis, attendant à une porte je ne sais qui, Aube, chaque soir lorsque déjà le jour se meurt. Je penserai à ta forme, jour naissant qui fus délire l'espace d'un instant. Que tous aillent chercher ce qu'ils ont laissé. Le destin ne connaît pas de trêve. Seuls, regardons la mer,...
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