
Si tu savais comme je lutte de tout mon souffle contre la malédiction de bâtiments qui craquent telles ces forces de naufrage qui me hantent tel ce goût de l'être à se défaire que je crache
et quoi dire que j'endure dans toute ma charpente ces années vides de la chaleur d'un autre corps je ne pourrai pas toujours, l'air que je respire est trop rare sans toi, un jour je ne pourrai plus
ce jour sera la mort d'un homme de courage inutile venue avec un froid dur de cristaux dans ses ...
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