
Je rends grâce à ce qui déroute, fausse les compas, arrête la montre. Au grain de sel ou de ciel dans l’engrenage froid des journées. Aux accès de fièvre qui affûtent les nerfs, aux impromptus du doute, aux coups de blues. Aux renvois lyriques des révoltes assagies, aux crises de foi, comme à ces états d’âme tellement décriés sans lesquels un homme ne serait jamais qu’une raclure de bidet.
(…)
Je rends grâce à qui se cabre, certain pourtant que le cimetière sauvage de l’humus le réconciliera...
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