
et autour de ma face une civilisation en agonie
Dans mes veines dans mes cendres vient l’éveil ;Je me lève, le monde est une maison autour de mon visage,Chaque fleur est poème.L’histoire vacille comme une proieL’histoire se fait plus vive - Quel feu es-tu éteint,Lequel as-tu ravivé, ô Mihyar ?
Je suis descendu dans un minaretje me suis mis dans une guitareoù chaque corde saignait sa blessure ouverte,la vie était un tapis aux marches du palaisl’histoire une guenille emportée par l’Euphrate,tout ce que ciel et terre comptent...
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