
Il faut parfois de grandes bourrasques qui nous laissent hébétés, en dehors de nous-mêmes.
Partir. Ne laisser que nos mues quelque part griffonnées, cachées dans une fente, entre les dents d’un voleur d’âmes. Un vendeur de vent et ses hochets de feuilles.
Nous purgeons nos peines de vie et pouvons saisir dans une fraction de temps, de soleil, de silence, quelques visions et parfums fugaces de paradis.
Le chat lèche le pain, le pain lèche le chat.
Inextinguible simplicité des jours. Ne...
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