28 septembre 2012
NICOLAS DIETERLE...Extraits
Commentaires
Si seulement je pouvais habiter les mots, comme une abeille loger dans leurs étroites cellules, au lieu d’être exclu de leur intimité à cause d’une faute obscure, commise avec les temps Si seulement je pouvais habiter un seul mot
A nous, il n’est donné qu’une langue de misère, de brume et d’oubli Une langue tout en creux, en faillit
Ne cède pas à la froide mort des mots, cet abîme tout en surface