
Sombres orages assourdis par le tumulte en peine.L'âme, la gloire, bal de tziganes en fleur.
Une apoplectique égérie, le visage pétri d'indignité,
Amorphe paysage érodé par l'orage.L'eau bleue des cils irriguant la page,
Suspendue, cherchant du regard les purs.
A travers des songes faméliques
Gravis de lune à lune les échelons de bois.
.
CLAUDIA CARLISKY
http://claudiacarlisky.blogspot.fr/
.