
L'oeuvre poétique laisse en nous une trace d'encre et de lumière qui ne peut être figée : elle garde la fluidité féconde du vivant - ou alors, elle ne compte pas. Nous n'avons pas à l'expliquer, mais à la comprendre, car elle se suffit à elle-même. D'ailleurs, elle refuse de se laisser dire en peu de mots. Nous pouvons tout au plus témoigner ; avec l'espoir de convaincre qu'il est urgent d'aller aux livres
Il y a, dans le cas particulier d'Heather Dohollau, que les premières pages publiées étaient - sans y...
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