
Même si tu n’es pas là, mes yeux de toi, de tout, sont remplis. Tu n’es pas née à une seule aube, à un seul couchant je ne suis pas mort. Le monde est plein de toi et nourri, le cimetière de moi, par toutes les choses, de tous les deux, par tout le peuple. Dans les rues je vais laissant quelque chose que je ramasse : morceaux de ma vie perdus depuis longtemps Je suis libre dans l’agonie et je me vois encabané dans les seuils resplendissants, resplendissants de naissances. Tout est plein de moi : de quelque chose qui est à...
[Lire la suite]