
Tu as du vent sur les tempes, sur les cordages et les prés aimable terre, terre de cheveux et de soleil étalés entre le faucon et la cloche, terre de nudités et de dépassements clairs, légèreté de silencieuses migrations de tempêtes et de trains écroulés, rondeurs de nouvelles lunes inquiètes, de seins lourds de mouches, églises, de douleur infinie, de brèves tombes ensommeillées, loups délicats et en harmonie, monuments de jazz, âpres couchers de soleil, crucifix de sable transversal, d’anciennes copules et d’exécutions. Saturnales...
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