
Oui je sais quela réalité a des dentspour mordreque s'il gèle il fait froidet que un et un font deuxje sais je saisqu'une main levéen'arrête pas le ventet qu'on ne désarme pasd'un sourirel'homme de guerremais je continuerai à croireà tout ce que j'ai aiméà chérir l'impossiblebuvant à la coupe du poèmeune lumière sans preuvescar il faut très jeuneavoir choisi un songeet s'y tenircomme à sa fleur tient la tigecontre toute raison
JEAN-PIERRE SIMEON