
Les forces du langage sont les dames solitaires, désolées, qui chantent à travers ma voix que j’écoute au loin. Et loin, sur le sable noir, gît une fille dense de musique ancestrale. Où est la véritable mort ? J’ai voulu m’éclairer à la clarté de mon manque de clarté. Les bouquets se meurent dans le souvenir. La gisante niche en moi avec son masque de louve. Celle qui n’en put mais et implora des flammes et nous brûlâmes.
Quand s’envole le toit de la maison du langage et que les mots n’abritent plus, je parle.
Les dames en rouge se...
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