
Merci Agnès...
Rigueur des vents dans la rouille du tempsodeur de feu que respirent les herbesle même couteau dans le noir du coeurl’ouvre à ce qui passe et sans nom demeure —j’écoute le ventles grands coups d’aile du corps invisiblemêlés à la mer, aux arbres et aux toitsà tout ce qui dans mon corps bat, ressent, respirelevant les eaux, fouillant les fonds —brassant les feuilles de la penséetoute cette eau amassée, pliée, rompue, précipitéeclaquements de portes, la plainte étirée d’un pind’un très vieux pin courbé près duquel...
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