
Des paysages ont grandi au levain de la mémoire.Collines chemins blancs pigeonniers que ronge l’acide du rêve éclairés par l’affairement des envols subreptifsLes mains paysannes y ont taillé des pieux pénétrés d’hiver pour les clôtures que flaire une odeur de mort le long des herbagesAilleurs, des oiseaux aux formes d’étoiles, comblés de la mesure d’infini dispensée aux terres marinesOù les jours plus longs que les nuits font trembler les pins au-dessus des tombesMais l’encre s’efface du reflet d’or que le regard n’a plus Partout les...
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