
Sous les arcades de la bonté, à l’ombre des rêves tu t’assieds. La mélodie de ta voix nous protège dans les jardins de l’errance.
Confiante comme un zéphyr, tu es la main qui ramasses mon dénuement et ma richesse et les jettes dans les compassions de l’abîme, abîme du passé de l’âge, l’âge qui ; s’effaçant sans pourtant effacer, ouvre ses tiroirs et me lance de nouveau vers les lacs des nuées fécondant l’arbre de la solitude par le pollen du voyage.
De plus petit que toi, je n’ai connu que l’esprit et de plus...
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