10 novembre 2014
DERRIERE LE DOS DE DIEU...Extrait
Avoir conscience de ma vie finie.
De l’infinité infinie immanente des mondes.
De la relativité de toute connaissance.
Le plaisir et le déplaisir parfois de regarder,
d’entendre de sentir de penser
les choses, humaines et non humaines,
l’obscurité et la lumière.
Trouver des mots pour essayer de dire.
Écrire ce quelque chose qu’on appelle un poème,
sachant qu’on ne sait pas
ce que c’est .
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LORAND GASPAR
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